Atypique

C’est au centre de la jolie ville médiévale de Senlis qu’Estelle et Hervé Francès ont ouvert leur fondation pour y présenter leur collection d’art contemporain composée de 400 oeuvres, réunissant 180 artistes de 40 pays autour du thème de l’homme et de ses excès. Aujourd’hui, l’expo d’été “Leurre” propose, à côté d’une sélection de pièces, de faire découvrir les (…)

Dossier réalisé par Frédérique Chapuis

Histoire d’amour avant amour de l’art, la fondation Francès est l’oeuvre d’un couple, Hervé et Estellen tous deux chefs d’entreprise et désireux de faire partager leur intérêt pou l’art contemporain. (…) L’exigence de la passion a amenés à collectionner quelque 400 oeuvres, photos, installations, vidéos, sculptures… autour d’un thème structurant : l’homme et ses excès. Souffrances, croyances, désirs, délires… autant de voies (…)

Par O.C.

(…) D’autant que les échanges sont riches, les oeuvres des Francès sont loin d’être lisses et consensuelles, elles dérangent, provoquent la discussion, libèrent la parole. De temps en temps, (…)

L’oeil en mouvement, Portraits Juin 2011 – Par Jean-Christophe Castelain

La fondation d’entreprise Francès invite le peintre Ronald Ophuis dans ses espaces de Senlis : un lieu propice au recueillement et à cette exposition qui souligne les rapports parfois conflictuels entre l’art et la religion. Inspiré par l’histoire contemporaine, ce Néerlandais met en scène dans des décors élémentaires la (…)

Ils sont dans la force de l’âge se sont souvent pris de passion pour l’art contemporain en un éclair de temps et occupent depuis le devant des médias grâce a des initiatives qui dépassent la pratique traditionnelle du collectionneur. Que cherchent ces nouveaux tycoons de l’art ?

Par Olivier Reneau

(…) Au fil du temps, l’art s’est progressivement mis au service de l’entreprise. C’est l’avis d’Estel Francès Lasserre, qui a monté sa fondation d’art contemporain avec son mari. Depuis 2006, pressentant les actions de mécénat en France, elle s’est lancée dans le conseil : “L’art est une valeur pour véhiculer une image cohérente, une stratégie avec une dimensions marketing. Il faut trouver les artistes qui y répondent, connaitre le marché de l’art et ses prix.” (…)

Tendance, Avril 2011 – Par Elisa Morère

Dans leur petite maison de Senlis, les collectionneurs convient six artistes contemporains à dialoguer avec Ronald Ophuis.

Pax, la paix, le nom de cette exposition sonne comme une gageure, presque un défi en ces temps troublés. Depuis leur tout premier achat, Estelle et Hervé Francès achètent leurs oeuvres de manière à créer des dialogues entre elles, dans l’idée que leur collection soit avant tout un partage. Très rapidement, le couple crée leur propre (…)

Collectionneur – Par Isabelle de Maison Rouge

1 Pour découvrir la fondation Francès, à Senlis (Oise, lieu intimiste ouvert dans le coeur historique de (…)

2 Pour découvrir Ronald Ophuis. Dans des tableaux lourds de matière, le peintre néerlandais, 43 ans, met en scène (…)

2 raisons d’aller voir – Par A. C.-C.

Et Dieu dans tout ça ? C’est la question qui sous-tend Pax, organisée à la Fondation Francès à Sentis. Interrogeant les liens entre les arts plastiques et la religion {et ses abus), l’exposition se construit comme une correspondance entre les oeuvres de l’artiste  basé à Amsterdam Ronald Ophuis et le travail de six autres plasticiens. Violentes, crues, décrivant des (…)

Dialogues – Par C. G.

L’enfant est assis sur la table d’auscultation. Le matelas vert surmonté d’un linge blanc s’enfonce légèrement aux endroits où ses bras sans main reposent. Son tricot de peau plisse à l’avant de sa poitrine, ses jambes trop petites pour toucher le sol pendent dans le vide. Dos rond et genoux serrés, Tristan attend. Installée dans l’une des deux pièces baignées de lumière du rez-de-chaussée de la fondation Francès, l’oeuvre de Sofie Muller touche en plein coeur. L’artiste belge, dont c’est la première exposition personnelle en France, est l’invitée d’Estelle et Hervé Francès, propriétaires des lieux et indéfectibles soutiens à la création contemporaine. Quatre fois par an, ils aiment à faire dialoguer (…)

Par Marie-Laure Desjardins