Art Media Agency
Le pari de la photo, 3 questions à Estelle Francès - Le 8 novembre 2016
“Pendant une semaine, le coeur de Paris bat au rythme de la photo, historique, vintage ou plasticienne… Impossible d’y échapper. Expositions, ventes, salons spécialisés. Gros plan sur un médium universel ! (…)
Quelle est la place de Paris sur le marché de la photo ?
E.F. : Paris est toujours très bien représenté pour ce qui est de la création photographie. Nous avons plusieurs photographes de renom comme Mathieu Pernot. Pour ce (…)”
Événement – Le pari de la photo, 3 questions à … – Le 8 novembre 2016
art press
Vestige - Avril 2014
L’homme et ses excès, tel est le fil rouge de la collection qui, composée depuis huit ans par Estelle et Hervé Francès, compte aujourd’hui 500 oeuvres, souvent des coups de poing ou des antidotes à l’indifférence. Constituée très librement, sans conseiller et hors de toute chapelle, elle assume un éclectisme qui réunit parfois des artistes que tout oppose, comme l’humanitaire Sebastião Salgado et le désenchanté (…)
Par Etienne Hatt – Traduction Par L-S Torgoff
Le Figaro
Les oeuvres au grand air - Juillet 2013
L’art et la nature, un ménage fidèle qui, en été, resserre ses liens. De parcs en châteaux, évadez-vous.
XXH à la fondation Francès à Senlis : la collection d’art contemporain d’Estelle et Hervé Francès fait dialoguer plusieurs figures majeures du moments, de (…)
COTE Magazine
Le choc des images - Le 1er juin 2012
Estelle et Hervé Francès ont créé, en 2009, la fondation Francès à Senlis. Quatre fois par an, le jeune couple y présente des expositions dialoguant avec leur collection, riche de plus de 400 oeuvres.
COTE : Comment et pourquoi le religieux s’est-il invité dans votre collection ?
Estelle Francès : Notre collection, dont le thème est ‘L’homme et ses excès’ fait naturellement références aux (…)
L'oeil
Dialogue entre enfants terribles - Mai 2012
Créée en 2008 par un couple de passionné d’art contemporain pour y exposer sa collection en plein essor, la (…).
Pour “Stigmates”, ils convient le jeune peintre britannique Philip Gurrey, lauréat du Pulse Prize, jamais exposé en France, à une manifestation articulée autour de la notion de transgressions dans la représentation du (…)
L'oeil
Génération collectionneurs entrepreneurs - Octobre 2011
Une nouvelle génération de collectionneurs militants s’est imposé dans le paysage français. Ils s’appellent Guillaume Houzé, Sandra et Amaury Mulliez, Estelle et Hervé Francès ou Chiara et Steve Rosenblum, soutiennent les artistes et se distinguent de leurs aînés en créant des fondations, des prix ou en ouvrant de nouveaux lieux d’exposition qu’ils veulent alternatifs. État des lieux…
Enquête – Par Roxana Azimi, Julie Portier et Philippe Piguet
art absolument
PAX, Fondation Francès - Mai/Juin 2011
La fondation d’entreprise Francès invite le peintre Ronald Ophuis dans ses espaces de Senlis : un lieu propice au recueillement et à cette exposition qui souligne les rapports parfois conflictuels entre l’art et la religion. Inspiré par l’histoire contemporaine, ce Néerlandais met en scène dans des décors élémentaires la (…)
Images Magazine
Fondation Francès, nouveau foyer de l’art contemporain – Septembre/octobre 2009
Créé par un couple de collectionneurs, ce nouvel espace d’exposition et de promotion de l’art contemporain présente un fonds de 145 artistes, parmi lesquels Nan Goldin, Andres Serrano, Bettina Rheims, Martin Schoeller.
Beaux Arts
Actu France - Up ! Estelle et Hervé Francès – Septembre 2009
Estelle et Hervé Francès
Le couple de collectionneurs lance une fondation d’art contemporain à Senlis. L’idée : faire dialoguer les œuvres d’un artiste invité avec des pièces issues de la collection et regroupant près de 150 créateurs dont Andres Serrano, Mounir Fatmi, Adel Abdessemed et Nan Goldin.
Actu France – Up !, Septembre 2009 – Par Françoise-Aline Blain
Le Parisien
Une fondation qui a l'art de déranger - Le 12 avril 2009
C’est un projet de vie de famille, très intime »,résume Estelle Francès. Avec son mari, elle vient de créer la Fondation Francès. (…) En à peine cinq ans, ils ont réuni une étonnante collection. Des artistes déjà reconnus ou d’autres qui frémissent. Ils ont écumé les foires de New York, Paris, Bâle ou Londres. « On part toujours ensemble. C’est un jeu. On visite et on tombe toujours d’accord sur les mêmes pièces. Tout se fait instinctivement », explique Estelle. « C’est un peu une drogue, une passion physique », renchérit Hervé Francès. Tout s’emboîte comme des poupées russes : la fondation et la maison familiale sont mitoyennes. « Le premier mot que mes enfants ont prononcé c’est tableau », s’amuse Hervé.
« Ce sont de véritables collectionneurs. L’aspect spéculatif ne les intéresse pas, car ils ne veulent pas vendre leurs pièces. Ils désirent surtout partager cette passion », explique Jacqueline Rabouan-Moussion, galeriste parisienne. Les « enfants » d’Estelle et Hervé sont plutôt terribles. « Les œuvres doivent être dérangeantes, pas par provocation mais il faut qu’elles racontent des histoires : les forces et les travers de l’homme. C’est ce que l’on voudra partager avec d’autres personnes : la fondation doit être un vrai lieu social où l’on dialoguera. Senlis a changé. Ce n’est pas cette caricature de ville bourgeoise que l’on colporte. Et même si cela dérange le bourgeois, ce n’est pas ce qui va nous arrêter », avertit Hervé Francès, élevé dans la fibre communiste.
Le coup d’envoi ressemblera à un coup de poing. Le 26 avril, l’exposition “Mort ou vif” proposera les photos du célèbre Andres Serrano, prises dans des morgues.