La solitude et l’isolement dans un contexte hostile et rigoureux entrainent une réflexion profonde pour identifier les issues et dessiner la fin du tunnel. Les personnages et les lieux posés comme des supports à la réflexion font l’analyse d’un passé douloureux. Cette introspection crée un chaos, nous ne sommes pas dans l’avenir, il s’agit de comprendre et de prendre la mesure de ce qu’il se passe.
Purification, introspection, l’espace est traité au négatif, déshumanisé, les lignes sont droites, elles sont épurées, prêtes à accueillir un renouveau sous d’exigeantes conditions.
Les lignes se courbent, le paysage se redéfinit, les éléments toujours fragiles, le doute est présent mais les lignes forment un territoire, une croyance collective qui érigent une identité et développent une énergie dynamisante.